samedi 29 mai 2010

Navigation tranquille.















Mardi 25 mai, dès le matin il fait délicieusement bon, le soleil brille malgré quelques flocons blancs dans le ciel bleu. Nous quittons notre mouillage sauvage et notre zone de baignade pour descendre la Sèvre Nantaise jusqu'à Vertou. Une cueillette de quelques fleurs d'acacia nous donnera l'occasion de faire quelques beignets. Le capitaine en raffole! En arrivant à Vertou, nous constatons que le petit ponton est déjà occupé par un Linsen amarré comme un hollandais. Nous nous mettons donc chacun sur un corps mort. Pour déjeuner tous ensemble, il faut mettre l'annexe à l'eau pour aller chercher les différents équipages. Si, pour le Ger'Emy, cela ne pose aucun problème, ce n'est pas la même chose pour le Solfanne. Chantal n'étant jamais montée à bord d'un youyou, elle n'est pas très franche! Elle a de la chance, nous ne sommes pas en mer, il n'y a pas la houle. La Sèvre Nantaise est un lac. Une fois à bord, elle n'a pas l'air traumatisée. Après le repas, il faudra refaire le trajet dans l'autre sens.






Lorsque la marée est assez haute, nous passons l'écluse de Vertou pour rejoindre la Loire. Nous la descendons jusqu'en aval de l'île Beaulieu pour la remonter de l'autre côté. Lors de notre passage à la hauteur de l'ancien chantier naval, nous avons le plaisir de voir l'éléphant des Machines de l'Ile qui était de sortie. Nous continuons la remontée de la Loire jusqu'à l'écluse Saint Félix qui nous permet de monter sur l'Erdre. Nous passons le tunnel pour nous amarrer à l'île Versaille.



Mercredi, après une petite visite aux halles pour l'avitaillement, nous quittons Nantes. Nous remontons l'Erdre sur quelques kilomètres. Il manque un petit rayon de soleil pour profiter pleinement de cette belle rivière. Nous nous arrêtons à Port Brégeon en face du château de la Gacherie. Vers 15h00, nous essuyons un orage suivi d'une averse torrentielle. Nous restons à quai pour le reste de la journée. Dominique et Annick, des amis nantais du Ger'Emy, viennent nous rejoindre pour le repas. Ce soir nous fêtons l'anniversaire de Gérard. Le soleil est revenu pour un apéro en terrasse avec un décor majestueux. Nous rentrons pour déguster une délicieuse côte à l'os grillée.




Jeudi, nous partons pour une grande navigation de 5 km. Nous remontons l'Erdre jusqu'à Sucé sur Erdre. Un très joli village où nous complètons l'avitaillement. Jo et François du Little Némo viennent nous rejoindre en fin de journée. Pique-nique de luxe ou apéro dînatoire pour tous. C'est le dernier repas tous ensemble. Demain la flottille se sépare.
Vendredi, le soleil est revenu. Jo et François continue de bonne heure leur route en voiture. Nous quittons Sucé sur Erdre avec Ger'Emy et Solfanne. Nous les accompagnons jusqu' l'écluse de Quiheix. Nous les aidons à l'éclusage (ici les écluses sont manuelles) avant de les saluer. L'écolage de la navigation en mer et en estuaire est finie. Bonne navigation à vous. Nous larguons les amarres et nous continuons notre remontée vers Nort sur Erdre. Repas en terrasse avant un petite promenade digestive. Pour la soirée, nous quittons Nort sur Erdre pour un coin plus tranquille. Soirée romantique au pied d'un joli château.





Samedi, le temps est gris, pluvieux et venteux, petite navigation pour nous rapprocher de Nantes. Nous nous arrêtons en face d'un club de voile où est organisée une régate. C'est joli à voir malgré le temps. Demain nous rejoindrons Nantes pour y laisser le bateau une dizaine de jours, le temps d'une petite escapade en Corse.

lundi 24 mai 2010

Fin de la navigation maritime.













Jeudi 20 mai, nous quittons le Port de Bourgenay où les équipes techniques s'affairent pour remettre en état le réseau d'eau et d'électricité sur le ponton d'accueil. La fin des travaux est prévue pour la semaine prochaine. Bourgenay, un port qui se bouge pour l'accueil des bateaux de passage. Nous apprenons que le port de Boyardville sur l'île d'Oléron vient, lui aussi, d'ouvrir ses portes aux bateaux en escale. Les affres de la tempête Xinthia disparaissent peu à peu. Pour notre retour, tous les ports devraient être ré-ouvert aux bateaux en escale pour quelques jours.
Nous quittons donc le port de bonne heure, le vent ayant tendance à augmenter l'après midi. Nous avons un vent d'est de 3 à 4 beauforts. C'est un vent de terre qui ne lève pas de clapot. La navigation est donc très agréable. 13h30, nous arrivons pour un déjeuner tardif à Saint Gilles Croix de Vie. Dès 16h00, le vent se lève et fait siffler les haubans des voiliers. Nous sommes bien à quai.
Vendredi, nous reprenons la mer avec un vent de 3-4 beauforts toujours de l'est. Nous voulions faire escale à port Joinville sur l'île d'Yeu mais une régate limite l'accès aux seuls bateaux participant à la régate. Avec nos bateaux à moteur, nous aurions du mal à nous faire passer pour des régatiers. Nous continuons donc directement jusqu'à Noirmoutier. Le vent et le courant nous sont très favorables, nous sommes bien aidés. La météo étant bonne, la mer belle, en arrivant sur la passe des boeufs, nous réduisons tous notre machine pour mettre nos lignes à l'eau. Nous sommes bien inspirés, en une demi-heure, les frigos se remplissent. 1 orphie sur le Solfanne, 1 beau bar sur le Ger'Emy (Gérard est le plus heureux et ce n'est pas un bobard!) et 4 aiglefins sur Océan-Manor. De quoi assurer un bon repas pour tous les équipages réunis. Il est 20h30 lorsque nous entrons à l'Herbaudière. Les lieux d'escale étant rares, le port est plein. Il faut jouer des coudes pour se faire une petite place entre 2 voiliers. Une fois le premier bateau posé, ce sera "collé-serré", nous mettons les 3 bateaux à couple. Les voileux nous observent du coin de l'oeil. Manoeuvres impeccables malgré le manque de place. Avec nos bateaux à moteur, nous ne sommes pas les bienvenus dans les ports de mer.
Samedi, nous quittons l'Herbaudière pour la marina très parisienne de Pornichet. Nous avons bien réessayé la pêche, mais aujourd'hui, nous rentrons bredouille. Le port de Pornichet est une véritable autoroute. Les bateaux rentrent et sortent sans discontinuer. C'est le week-end de pentecôte et les parisiens sont là pour se montrer! Ils sont fiers en sortant et moins fiers lorsqu'ils rentrent mouillés, c'est que la mer remue pas mal dehors. Nous avons bien du plaisir à les observer.
Dimanche, de bonne heure, nous larguons les amarres pour embouquer la Loire. C'est qu'il faut la remonter avec la marée. Nous longeons la côte en slalomant entre les cailloux pour rejoindre au plus près le chenal. Navigation à vue, compas de relèvement et carte précise. Nous passons sans difficulté l'île de la pierre percée. En arrivant sur St Nazaire, les pompiers sortent pour une manoeuvre et un joli salut à Gérard, ancien pompier. Superbe!
Nous passons le pont de St Nazaire pour une remontée avec un fort vent dans le nez. A l'heure du déjeuner, nous accrochons nos 3 bateaux à couple, toujours en navigation pour déguster un spaghetti bolognaise. Manoeuvre qui a donné quelques sueurs froides à Chantal, mais qui tout compte fait, n'est pas très compliquée. Le vent est juste un peu dérangeant.

Nous arrivons dans les temps à Nantes. Nous embouquons alors le Sèvre Nantaise pour aller faire un petit tour dans le pays du Muscadet. Nous nous amarrons en sauvage au pied des vignes.




Lundi, nous pouvons dormir plus tard, pas d'heure de marée à respecter, pas de route à tracer ou de météo à écouter. Relâche! Nous démarrons les moteur vers 11h00 pour remonter au bout de la Sèvre Nantaise. 21 km navigable d'une rivière sauvage mais très bien entretenue. Nous nous arrêtons encore une fois en sauvage. Nous allumons le barbecue pour une grillade de poissons... Un délice!

mercredi 19 mai 2010

Océan-Manor, la quille dans l'eau de mer.





Vendredi 14 mai, journée venteuse mais ensoleillée. Après la visite de la citadelle de Blaye, petit cours de noeuds et entraînement pour le lancer d'amarre pour finir la journée. Nous aurions bien été passer la nuit sur l'île Nouvelle, mais l'amarrage de nuit y est interdit. En fin de journée, le "Simba" que nous avons déjà croisé à Bordeaux vient s'amarrer au ponton.

Samedi, malgré un temps couvert, nous larguons les amarres pour Royan. Nous passons par la passe de Saintonge. Le vent se lève et nous avons droit à une belle houle. Nous arrivons à Royan pour déjeuner. Le soleil montre son nez avec le changement de marée. Christian, Anne Marie et Zvonko viennent nous dire bonjour.

Dimanche, vu les prévisions météo, nous restons à quai. Nous en profitons pour faire le marché et visiter la ville. Le soleil est là mais le vent souffle! Il faut remettre les équipages à niveau... Lecture de carte, route, navigation, hauteur d'eau, ... Gérard à un peu de mal. Si l'on suit sa route, nous nous retrouverions en Espagne plutôt qu'à La Rochelle.

Lundi, la météo ne nous est toujours pas favorable. Nous préférons attendre une journée de plus. Révision de la navigation, les heures de marée sont à refaire. Il faut encoder tous les waypoints dans le GPS... La navigation est plus simple en canal! Tous les équipages sont au "top". Nous avons même le temps de préparer le matériel de pêche. Pour déjeuner, nous mettons en commun tous les restes des différents frigos. Il y a largement de quoi nourrir tout le monde. C'est mieux qu'un buffet de restaurant... On a du mal à tout terminer.


Mardi 18 mai, le soleil brille et le vent est tombé. Génial, 8h30, les moteurs tournent, Christian et Zvonko nous accompagnent. La mer est belle. Nous avons une houle 3/4 arrière qui nous berce. Nous passons au large de Cordouan. Pas question de s'en approcher trop, il y a des bancs de sable et de la roche. Nous voyons les déferlantes de loin. Respect pour le roi des phares. La météo et la mer sont avec nous, nous n'irons pas au bout du chenal du Banc de la Mauvaise, nous coupons à la bouée 6. Nous prenons la houle plus travers et tous les estomacs ne supportent pas ce roulis. Cap sur le phare de Chassiron à la pointe nord de l'île d'Oléron. Nous y arrivons avec une petite heure d'avance. A la hauteur du plateau d'Antioche, les machines sont levées et les traînes mises à l'eau. 7 orphies pour 1 heure de pêche. Nous reprenons notre navigation vers le Vieux Port de La Rochelle. Nous y trouvons une place pour mettre les 3 bateaux à couple. Le port des Minimes étant interdit à l'escale suite à la tempête Xynthia qui a fait beaucoup de dégâts dans le port. 9h30 de traversée pour rallier La Rochelle depuis Royan. Nous avons bien tourné sans pour autant forcer sur la mécanique.





Mercredi, nous quittons La Rochelle de bonne heure. Nous passons sous le pont de l'île de Ré avant de suivre sa côte jusqu'à Saint Martin de Ré. Navigation très agréable, la mer est belle, le vent presque nul. Emilie a même envie de se baigner. L'eau est un peu froide pour un plongeon. Nous ne sommes pas en méditerranée! Pour la fin de la navigation, le vent se lève un peu mais nous sommes déjà en vue du port de Bourgenay. Nous pouvons y entrer, ici les traces de la tempête ont déjà été effacées, les visiteurs sont les bienvenus. Ce n'est pas le cas de La Rochelle ou des Sables d'Olonne : "bateaux en escale : Passez votre route".

13h15, nous sommes à quai à Bourgenay, bien à l'abri dans le port, le vent peut se lever. C'est prévu dans le bulletin météo.



vendredi 14 mai 2010

Océan-Manor navigue en direction de l'atlantique.


Les 2 "Pédro", Ger'Emy et Solfanne, nous ont rejoints à Pont des Sables. Lundi 10 mai, le soleil est revenu, nous attendons le camion pour une livraison de Gasoil avant de larguer les amarres. Pas facile de faire le plein sur le canal. En se regroupant tous, nous arrivons aux 1000 litres, le camion veut bien se déplacer... sinon, c'est la galère au bidon.
15h45, tous les pleins faits, nous quittons enfin le port. C'est un peu tard pour arriver à Castets en Dorthe ce soir. Navigation agréable, nous enclenchons l'écluse de Fontet à 18h59 en ayant un peu accéléré dans le dernier bief. Ce sera la dernière écluse de la journée. Pour la nuit, nous nous amarrons à triple sur le ponton d'attente de l'écluse de Bassanne.

Mardi, le ciel est plutôt gris mais sec. Dès que le feu de l'écluse s'allume, nous tournons la perche. Nous ne devons pas traîner si l'on veut encore prendre la marée à Castets ce matin. La marée haute était à 8h30 ce matin. Nous avons jusqu'à 10h30 pour arriver à l'écluse de passage en Garonne.


10h25, nous sommes en Garonne. Elle est à la cote +1,9m, il y a du courant. Les bouées sont invisibles, elles sont coulées, il y a trop d'eau. Nous pouvons passer au dessus des bancs de sables sans être inquiétés. Par contre, il faut être vigilant, il y a beaucoup d'embâcles. Nous descendons à une moyenne de 15 km/h malgré nos 2 heures de retard par rapport à la marée et après 4h00 de descente, nous arrivons à Bordeaux presque à l'étale. L'ancien ponton "Mécanique Henry" rebaptisé ponton Benauge n'est toujours pas en service. Nous passons le pont de Pierre en fin de marée et malgré tout, cela remue encore bien. Nous nous amarrons au ponton d'attente du bassin à flot.


Mercredi, nous restons à Bordeaux, visite de la ville et en fin de journée, nous déplaçons le bateau pour assister au départ d'un petit paquebot de croisière et pour être aux premières loges pour admirer un show de Canadair. Même si la météo n'est pas avec nous, les coupe-vent sont de rigueur, le spectacle est super.




Jeudi, le ciel est encore chargé mais le soleil montre son nez. Le vent est toujours là. Nous rencontrons un petit clapot à Ambès. A l'entrée de gironde, nous bifurquons vers la droite pour aller à Blaye. Nous sommes en fin de marée. L'amarrage sur le ponton de Blaye reste sport malgré tout! Il faut faire marche arrière avec le courant et le vent sans s'échouer ou prendre la passerelle. Avec le vent contre le courant, il y a de la houle à Blaye. Le ponton est toujours aussi agité. En se serrant un peu, nous trouvons de la place pour tout le monde.
Jeudi, le vent est tombé et le soleil est de retour. Nous en profitons pour visiter Blaye.









dimanche 9 mai 2010

Océan-Manor fait un "aller-retour" à Bordeaux.





Samedi 1er mai en fin de journée, Dédée et Alex de Pommevic viennent à Pont des Sables. Pour l'anniversaire de Dédée, Alex a prévu quelques jours de vacances et de marche... dans le Pyrennées. Mais, surprise, ils n'iront pas plus loin en voiture. Ils embarquent le soir même sur "Aldo" avec Yolande et Jaky. Océan-Manor va suivre pour l'intendance. Il faut bien nourrir tout ce petit monde.

Alex et Dédée sont d'anciens mariniers qui ont longtemps navigué sur Garonne. Au lit de bonne heure, demain, il faut se lever de bonne heure.






Dimanche, 8h30, les machines sont mises en route. Nous ne devons pas traîner si nous voulons prendre la marée à 13h30 à Castes en Dorthes. Après l'arrêt du 1er mai, les écluses doivent être reprogrammées. Les horaires changent, 19h00 à la place de 18h00. Nous attendons 9h45 pour voir enfin arriver l'éclusier et prendre la première écluse.


A l'écluse de Bassanne, nous embarquons Laurent et ses 2 enfants, Morgan et Geoffrey. Ils sont de Bordeaux mais ne connaissent pas le canal et ses écluses. 3 matelots supplémentaires qui sont heureux de prendre la barre une fois sur Garonne. La rivière est large et permet les quelques zigzags des débutants. 14h30 nous sommes sur Garonne. Elle est haute et l'heure de retard que nous avons sur la marée ne nous pénalisera pas de trop. Malgré un temps plutôt froid à cause du vent, la descente est bien agréable.


Un retour en arrière rempli d'émotions et de bonheur pour l'équipage du Aldo. Se retrouver au macaron après tant d'année à terre. A chaque km de Garonne, nos mariniers ont des histoires à raconter. Ils ont intarrisables. Nous déposons nos passagers au ponton Bastide à Bordeaux avant d'aller nous amarrer au ponton du bassin à flot pour la nuit. Il est temps de se poser, la marée se renverse.




Lundi matin, notre escapade à Blaye est annulée, la faute au vent. Un BMS est en cours pour la Gironde : 7 beaufort, c'est à dire 55 km/h de vent contre le courant, cela lève une houle plutôt importante. Ce n'est pas jouable pour l'Aldo, qui n'est pas taillé pour la mer et sa houle. Nous subissons la houle jusqu'à Bordeaux où la Garonne se couvre de moutons dans la ligne de Bassens. Nous partons donc tranquillement vers Portet lors de la renverse. Navigation en fin de journée avec un soleil rasant.



Mardi matin de bonne heure, nous partons avec la tête de la marée pour en profiter un maximum. Les coéficients ne sont pas très élévés, la marée ne pousse donc pas très fort. Midi et demi, nous sommes en vue de l'écluse de Castets. Nous retrouvons le calme du canal et ses écluses. Nous terminons notre voyage sous une pluie battante. Retour à Pont des Sables. La balade en Garonne se termine.

Nous attendons maintenant "Ger'Emy" et "Solfanne", 2 Pédro qui descendent vers Royan avec nous. Départ prévu lundi 10 mai.

lundi 3 mai 2010

Une petite escapade sur le Tarn.






Petit retour en arrière pour une escapade sur le Tarn à Moissac. Nous débarquons d'Océan-Manor pour embarquer pour 3 jours sur le "Little Némo".
Une descente sur le Tarn malgré un temps plutôt incertain. Un 1er mai plutôt humide mais très chaleureux.
Le capitaine profite de se laisser mener. Relax, une navigation tranquille et la possibilité de pousser un peu la machine pour décrasser la mécanique qui n'aime pas trop le ralenti imposé par la navigation sur le canal. A nous les grandes étendues et les bonnes profondeurs, une navigation comme on les aime.



Retour à quai, le capitaine met la main à la pâte.
Un dernier au revoir et nous revenons à bord d'Océan-Manor qui metttra cap à l'ouest alors que le Little Némo mettra cap à l'est dans quelques jours avant de partir hiverner en Belgique.